Découvrez ici notre liste d'affaires à reprendre

Supérette à remettre en Belgique

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Superette + fast food | Centre Bruxelles | Quartier très animé
📍 Bruxelles
Prix :
60.000€
Secteur :
Commerce alimentaire
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Supérette à remettre | Monopole local | Clientèle fidèle
📍 Petit-enghien
Prix :
Sur demande
Secteur :
Commerce alimentaire
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Une opportunité unique : reprenez le louis delhaize de Thulin
📍 Thulin
Prix :
À discuter
Secteur :
Franchise
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Opportunité franchise | Ouvrir un Carrefour Express à Uccle
📍 Uccle
Prix :
115K€ Apport Propre
Secteur :
Franchise
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Commerce alimentaire | 125 m² + réserve | Équipé & actif
📍 Rebecq
Prix :
50.000€ + stock
Secteur :
Commerce alimentaire
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Superette alimentaire Mons | 300 m² net, matériel complet | Bon CA
📍 Mons
Prix :
125.000€
Secteur :
Commerce alimentaire
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Magasin bio à vendre | 18 ans d’activité et CA solide
📍 Philippeville
Prix :
50.000€ + stock
Secteur :
Commerce alimentaire
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Commerce de proximité situé entre Waterloo et Rhode
📍 Rhode-Saint-Genèse
Prix :
20.000€
Secteur :
Commerce alimentaire
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L’épicerie d’Augustin | Opportunité locale | Quartier en expansion
📍 Liège
Prix :
32.000€
Secteur :
Commerce alimentaire

Reprendre une supérette en Belgique est une excellente opportunité pour gérer un commerce de proximité avec une clientèle fidèle. Plus grande qu’une alimentation générale mais plus flexible qu’un supermarché, la supérette combine praticité, horaires étendus et gamme élargie : produits frais, conserves, pain, boissons, hygiène, surgelés… Elle répond à un besoin local, notamment dans les quartiers urbains, villages, ou zones mal desservies par les grandes surfaces.

Le secteur continue d’évoluer vers des modèles plus hybrides. À Ixelles, la supérette Noor a été reprise et transformée en commerce mixte, combinant produits classiques et rayon bio, avec une ouverture 7j/7. À Liège, une ancienne supérette familiale est devenue Le Coin Pratique, avec l’ajout d’un point relais colis, une offre de repas prêts à emporter et une gestion digitalisée du stock. Ces exemples montrent que les supérettes bien positionnées, offrant un bon service et une offre variée, restent des commerces très attractifs à reprendre.

Conseils pour reprendre une supérette

– Étudier la zone de chalandise : population locale, concurrence, flux piéton, accessibilité
– Vérifier l’agencement et le matériel : frigos, congélateurs, rayons bien organisés, système de caisse, caméras de sécurité
– Évaluer la diversité de l’offre : épicerie, produits frais, boissons, produits ménagers, petits services annexes
– Penser à la gestion : logiciel de caisse performant, suivi des marges, renouvellement fréquent des stocks

Ce à quoi il faut faire attention

– Les charges fixes : électricité, personnel, loyer et renouvellement du stock
– La gestion des invendus et produits périssables : prévoir une rotation efficace et des outils de suivi
– Le contrat de bail : examiner la durée restante, les clauses de renouvellement et les charges liées
– Les autorisations : inscription à la BCE, respect des normes AFSCA, licence éventuelle pour le tabac ou l’alcool

FAQ

Quel est le budget pour reprendre une supérette ?

Le prix dépend de la taille, l’emplacement, le stock et le matériel. Compter entre 50 000 € pour une petite supérette et jusqu’à 200 000 € pour une structure bien équipée avec une clientèle active.

Supérette ou supermarché : quelles différences ?

La supérette est un commerce de taille intermédiaire, souvent indépendant, avec une offre plus ciblée et une gestion plus souple qu’un supermarché franchisé.

Quelles sont les clés de la rentabilité ?

Un bon emplacement, une gestion rigoureuse du stock, une offre cohérente et des services complémentaires comme les livraisons, les colis ou les produits régionaux.