Reprendre un salon de coiffure en Belgique est une opportunité professionnelle à la fois créative et stable, dans un secteur où la fidélité de la clientèle et la qualité du service font toute la différence. Qu’il soit axé sur la coiffure mixte, féminine, masculine, les coupes modernes, les colorations, les soins capillaires ou les prestations express, un salon bien situé, bien agencé et porté par une bonne réputation peut rapidement générer un chiffre d’affaires régulier.
Plusieurs reprises récentes montrent que le métier continue d’évoluer. À Bruxelles, le Salon Nomade a été relancé avec une approche naturelle et sans produits chimiques, attirant une clientèle soucieuse de bien-être et de durabilité. À Liège, Studio 26 a modernisé son image avec une déco minimaliste, une offre ciblée sur les coupes homme et barbe, et un système de réservation en ligne qui optimise le flux quotidien. Ces exemples confirment qu’un bon positionnement, une ambiance soignée et un service constant assurent la pérennité d’un salon.
– Vérifier les équipements : fauteuils, bacs à shampoing, miroirs, éclairage, matériel de coupe et de coloration, réception, caisse
– Évaluer l’agencement : visibilité extérieure, espace d’attente, confort des postes, fluidité de circulation
– Étudier la clientèle : femme, homme, mixte, habitudes (sans rendez-vous, abonnements, soins réguliers), panier moyen
– Penser à la communication : vitrine, bouche-à-oreille, avis en ligne, réseaux sociaux, réservation en ligne
– Les normes d’hygiène : propreté des outils, désinfection, gestion du linge, ventilation des produits chimiques
– Le personnel : présence d’un coiffeur diplômé, stabilité de l’équipe, polyvalence, formation continue
– La gestion du planning : forte affluence le week-end, optimisation des créneaux pour limiter les temps morts
– La concurrence locale : bien se différencier par le style, le service ou les produits utilisés
Compter entre 20 000 € pour un petit salon local à un poste, et plus de 100 000 € pour un salon bien équipé, multi-postes, avec clientèle régulière et bonne visibilité.
Oui, un diplôme de coiffure est requis pour exercer. Si tu n’es pas coiffeur·se, tu peux reprendre le commerce en tant que gestionnaire mais dois employer une personne diplômée.
Les colorations, les soins capillaires, les coupes rapides homme, les services de lissage ou de relooking, et la vente de produits capillaires en complément.